ca-me-fascine

Avant toi j'ignorais tout ca...

Jeudi 5 août 2010 à 19:08

Maintenant, c'est tout l'inverse, j'ai peur de tout. Peur de tout le monde, peur des filles mieux faites que moi, peur des hommes, peur de la solitude, peur de mal faire. Je vis dans la panique. Ma propre vie se fout littéralement de ma gueule, donc, comment ne pas vivre dans la peur en permanence ? La bonne étoile ne m'a jamais choisit pour me donner ma chance, je crois.

Jeudi 5 août 2010 à 1:43

J'ai merdé. Même plus. Ce fut monumentale. Non, vraiment, plus jamais de crises colèriques envers un site ne laissant aucunes confidentialités, c'est que maintenant que j'ai tilté. Maintenant, je perds tout. La confiance de mon adoré, et son amour, peut être. Il se laisse ronger par la haine, et moi, ma propre colère m'a entièrement trahie ! Non, Seigneur, plus jamais ce genre de choses. Si l'écriture est pour moi, un apaisement, autant que je gribouille sur la tapisserie neuve de l'hôtel de Papa et Maman, écrire " WHORE " avec de l'eau de javel sur mes vêtements, graver ma colère sur le sol avec un caillou, ou bien sur un arbre vieillit, mais plus sur un blog, plus jamais. Tout le monde possède l'accessibilité de ma confidentialité, de mon intimité, de ma colère, ma souffrance passagère. Qu'importe, j'ai merdé. Et le mot est faible. A la seconde où j'ai réalisé que ca devenait grave, il aurait fallut me donner un revolver pour que je me plombe afin de ne pas entendre des mots me retombant dessus, afin de ne pas me rendre compte que j'ai trop joué avec ma colère, que j'ai trop joué avec le feu. Mais sachez, chers lecteurs,que je ne suis pas comme vous. Je ne calme pas ma colère en prenant un bain, ni en cognant dans les murs jusqu'à en rendre mes poignets sanglants, ni en prenant ma voiture et filer à 180km/h, ni en prenant l'air quelques instants, ni en se revengeant sur la nourriture. Non, j'écris jusqu'à ce que je redevienne calme, détendue, et je repars. Bien fait pour moi. Néanmoins, je prends conscience que créer un site spécial pour écrires des textes pitoyables en s'imaginant que personne ne tomberait dessus, c'est ridicule. Parce que la personne concernée a tout lu. Et Pan. Une raclée. Une bonne raclée que je n'avais pas reçu depuis bien longtemps. Une raclée qui m'a fait pleurer, mais qui m'a fait un bien fou. Cette fois-ci, dans toute mon existence, je n'accuserai pas les autres d'avoir été cons envers moi, je dirais que c'est moi qui a été conne sur toute la ligne, sans vraiment l'être en faite. Amoureuse, mais en colère. Ecriture imponctue, impensée, mais tellement hard. C'est sûr, ca blesse. Même si je recolle les morceaux, les fissures ne s'effaceront jamais. Je m'appelle Betty, j'ai dix sept ans et je suis une pauvre imbécile par excellence, et encore, le mot est faible, je ne suis qu'une pauvre enfant obtenant tout ce qu'ele désire sans avoir entière satisfaction, je suis une pauvre tâche !

Coup de pute involontaire ! JE SUIS UNE BELLE SALOPE !

Jeudi 1er juillet 2010 à 14:49

C'est comme un journal se déchirant en mille morceaux, s'usant avec la pluie et le beau temps. C'est si moche. Ton attirance pour la gente masculine alors que  toi-même tu es un homme,  c'est affolant d'entendre ces mots de tabouche. Considérer l'infidèlité quand c'est avec quelqu'un du sexe opposé mais avec une personne du meêm sexe que toi, tout paraît normal, ce n'est ni infidèlité, ni trahison, c'est seulement une attirance qui t'obsède, qui m'assassine. Je m'éloigne très vite, mieux vaut que je n'y penses pas. Admettons que tu ailles voir un ravissant jeune homme, beau et t'allumant au maximum pour que tu puisse succomber à son "charme", te lancerais-tu ? Par respect pour moi, par respect de mon amour, irais-tu ? Peut être l'as-tu déjà fait, qui sait. Tellement de couples vivent dans le mensonge de nos jours. Cela n'arrive pas qu'aux autres.

Jeudi 24 juin 2010 à 19:02

A genoux devant toi, je te baiserai les pieds pour négliger ton abandon. J'inventerai les pires mots insignifiants pour que tu sois charmé, je te donnerai tout pour te montrer que il y a au moins une personne sur cette Terre qui est prête à tout faire pour ne pas te laisser partir. Ce serait bête que tu laisses passer cette chance. Qui t'aimera comme moi je t'aime, hein ? Une petite anglaise que tu ne comprendrais sans doutes pas ne serais pas telle que je le suis. Personne ne me ressemble, en faite. Et heureusement, personne ne doit être comme moi, et je ne veux certainement pas ressembler aux autres. Baby, par pitié, t'en va pas. J'y penses sans cesse, j'en fais des cauchemards, même. C'est fou, je me voit t'accompagner à l'aéroport de je ne sais où, mais qu'importe, je t'accompagne, avant que tu puisses franchir cette barrière et t'envoler loin de moi, tu me laisses un tout dernier baiser d'amour avant la fin. Et tu t'excuses. Je ne t'en veux pas, je vais bien, ne t'en fais pas. Et je te revois quand ? Dans les fêtes de famille, et tu m'adresses une bise, un regard distant, l'oubli total. Je déteste ces cauchemards. Et si c'était prémonitoire ? Seigneur, faites que ce n'est que mon subsconcient qui déraille totalement. Ne t'en va pas, maintenant. Je suis heureuse avec toi, et toi aussi. Attends-moi, attends juste trois années, trois putains d'années et après j'empoche mes diplômes et je m'envoles au milieu de nulle part avec toi. Et là, je pleure.. De joie.

Mercredi 23 juin 2010 à 17:41

Tout me tombe dessus, c'est un drame. Le manque de chance ne cesse pas, il ne se décroche pas de mon être. Travailler d'arrache-pieds à s'endormir debout, et vivre dans cet endroit qui m'horripile, sans lui. La distance est difficile à surmonter, mais plus j'en apprend plus je deviens folle. Au moment où tout commencait à se stabiliser comme il faut, où je commencais à avoir réellement confiance en lui, tout s'apprête à s'écrouler. Le choix le plus immonde, le plus horripilant, le plus troublant ! Le choix décisif, en faite. Soit moi, soit l'Angleterre, pays magnifique où il pleut sans cesse, où une bonne partie des français y partent pour gagner plus que cette foutue France. Apparament, il gagnera une place de génie, avec un salaire démentiel que peu de gens de son âge peuvent gagner. Cependant, je ne peux le suivre, je suis encore jeune, et encore étudiante. La vie est une beau ramassis de concentré de merde, on devait s'installer ensemble dans NOTRE appartement à la rentrée de Septembre. Non, vraiment, tout me tombe dessus. Lui-même ne sait pas. Je pris tant pour qu'il renonce à ce pays, et m'attendre pour qu'on y vive ensemble, mais hélas, le mot impossible existe tout de même. Mais d'un autre côté, on ne retrouve pas de telles opportunitées, surtout à dix-neuf ans. Moi même je ne sais pas ce qui est mieux pour lui. D'un autre côté, quoi qu'il fasse, quel que soit le choix qu'il entreprendra, il regrettera forcément. Si il part loin de moi, il regrettera le fait d'avoir renoncé à l'amour, à la seule fois où il aura goûté à l'amour, à un bonheur fusant. Mais si il reste, il regrettera forcément l'Angleterre, il n 'y a qu'à voir, le salaire qu'il a en ce moment n'est pas du tout le même que celui qu'il pourrait gagner en Angleterre. Qu'importe, je ne suis pas dans sa tête, ni dans son esprit, mais je garde encore cette lueur d'espoir, celui de ne pas m'arracher l'homme avec qui je m'imaginais un avenir. Qui l'eût cru ? Je n'aurais jamais dit cela auparavant. Comme quoi, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas.
En tous cas, si la vie l'amenait à s'en aller loin de moi, que deviendrais-je ? Une pauvre fille, encore, comme cette année. Ma force morale se cassera la figure, encore plus qu'avant, et qui m'aidera à surmonter tout cela ? Sans compter de ces souvenirs qui se baladeront dans ma tête sans arrêt, de notre véritable approche à Paris, à cette sortie au Casino de Dinard, et ces deux nuits passées ensemble, sans personne qui n'osait franchir le pas, et soudain,  sa phrase qui m'a tant marqué " On ne se quitte plus, hein ? ", j'en ai les larmes aux yeux, quand j'écris ca, je ne peux pas me mettre à l'idée que tout cela va peut être s'effondrer. Mais quoi de plus affreux que d'être dans un fond de nostalgie nous tuant à moitié, usant toute mon âme. J'ai vécu beaucoup de choses avec lui, trop de choses, même, j'ai eu trop de bonheur, trop de comble. J'arrête, je me fait trop de mal.



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Et moi qui devait te servir de partenaire dans tes fabuleux tours de magie qui m'épataient tant.

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