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Avant toi j'ignorais tout ca...

Jeudi 24 juin 2010 à 19:02

A genoux devant toi, je te baiserai les pieds pour négliger ton abandon. J'inventerai les pires mots insignifiants pour que tu sois charmé, je te donnerai tout pour te montrer que il y a au moins une personne sur cette Terre qui est prête à tout faire pour ne pas te laisser partir. Ce serait bête que tu laisses passer cette chance. Qui t'aimera comme moi je t'aime, hein ? Une petite anglaise que tu ne comprendrais sans doutes pas ne serais pas telle que je le suis. Personne ne me ressemble, en faite. Et heureusement, personne ne doit être comme moi, et je ne veux certainement pas ressembler aux autres. Baby, par pitié, t'en va pas. J'y penses sans cesse, j'en fais des cauchemards, même. C'est fou, je me voit t'accompagner à l'aéroport de je ne sais où, mais qu'importe, je t'accompagne, avant que tu puisses franchir cette barrière et t'envoler loin de moi, tu me laisses un tout dernier baiser d'amour avant la fin. Et tu t'excuses. Je ne t'en veux pas, je vais bien, ne t'en fais pas. Et je te revois quand ? Dans les fêtes de famille, et tu m'adresses une bise, un regard distant, l'oubli total. Je déteste ces cauchemards. Et si c'était prémonitoire ? Seigneur, faites que ce n'est que mon subsconcient qui déraille totalement. Ne t'en va pas, maintenant. Je suis heureuse avec toi, et toi aussi. Attends-moi, attends juste trois années, trois putains d'années et après j'empoche mes diplômes et je m'envoles au milieu de nulle part avec toi. Et là, je pleure.. De joie.

Mercredi 23 juin 2010 à 17:41

Tout me tombe dessus, c'est un drame. Le manque de chance ne cesse pas, il ne se décroche pas de mon être. Travailler d'arrache-pieds à s'endormir debout, et vivre dans cet endroit qui m'horripile, sans lui. La distance est difficile à surmonter, mais plus j'en apprend plus je deviens folle. Au moment où tout commencait à se stabiliser comme il faut, où je commencais à avoir réellement confiance en lui, tout s'apprête à s'écrouler. Le choix le plus immonde, le plus horripilant, le plus troublant ! Le choix décisif, en faite. Soit moi, soit l'Angleterre, pays magnifique où il pleut sans cesse, où une bonne partie des français y partent pour gagner plus que cette foutue France. Apparament, il gagnera une place de génie, avec un salaire démentiel que peu de gens de son âge peuvent gagner. Cependant, je ne peux le suivre, je suis encore jeune, et encore étudiante. La vie est une beau ramassis de concentré de merde, on devait s'installer ensemble dans NOTRE appartement à la rentrée de Septembre. Non, vraiment, tout me tombe dessus. Lui-même ne sait pas. Je pris tant pour qu'il renonce à ce pays, et m'attendre pour qu'on y vive ensemble, mais hélas, le mot impossible existe tout de même. Mais d'un autre côté, on ne retrouve pas de telles opportunitées, surtout à dix-neuf ans. Moi même je ne sais pas ce qui est mieux pour lui. D'un autre côté, quoi qu'il fasse, quel que soit le choix qu'il entreprendra, il regrettera forcément. Si il part loin de moi, il regrettera le fait d'avoir renoncé à l'amour, à la seule fois où il aura goûté à l'amour, à un bonheur fusant. Mais si il reste, il regrettera forcément l'Angleterre, il n 'y a qu'à voir, le salaire qu'il a en ce moment n'est pas du tout le même que celui qu'il pourrait gagner en Angleterre. Qu'importe, je ne suis pas dans sa tête, ni dans son esprit, mais je garde encore cette lueur d'espoir, celui de ne pas m'arracher l'homme avec qui je m'imaginais un avenir. Qui l'eût cru ? Je n'aurais jamais dit cela auparavant. Comme quoi, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas.
En tous cas, si la vie l'amenait à s'en aller loin de moi, que deviendrais-je ? Une pauvre fille, encore, comme cette année. Ma force morale se cassera la figure, encore plus qu'avant, et qui m'aidera à surmonter tout cela ? Sans compter de ces souvenirs qui se baladeront dans ma tête sans arrêt, de notre véritable approche à Paris, à cette sortie au Casino de Dinard, et ces deux nuits passées ensemble, sans personne qui n'osait franchir le pas, et soudain,  sa phrase qui m'a tant marqué " On ne se quitte plus, hein ? ", j'en ai les larmes aux yeux, quand j'écris ca, je ne peux pas me mettre à l'idée que tout cela va peut être s'effondrer. Mais quoi de plus affreux que d'être dans un fond de nostalgie nous tuant à moitié, usant toute mon âme. J'ai vécu beaucoup de choses avec lui, trop de choses, même, j'ai eu trop de bonheur, trop de comble. J'arrête, je me fait trop de mal.



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Et moi qui devait te servir de partenaire dans tes fabuleux tours de magie qui m'épataient tant.

Lundi 14 juin 2010 à 19:15

Ca en devient à un point que je ne peux plus m'en passer, de ce petit bonhomme me faisant littéralement craquer avec un regard insignifiant, même le pire des regards pourrait me faire un effet fou. Un grand enfant, j'aime tellement ca. Jamais je n'ai été autant comblée de toute ma vie, jamais. J'aurais pu prétendre le contraire, mais non, je ne peux le prétendre, le bonheur que je vis en ce moment est le meilleur que je n'ai jamais connu. Je vis ce que je n'ai jamais vécu réellement, une véritable vie de couple, en faite. Je suis jeune, je sais, je ne devrais même pas sortir tous ces mots de ma bouche, je ne devrais même pas les écrire d'ailleurs, c'est ridicule de parler de mariage et de bébés à l'âge qu'on a. Grotesque, même. Je sais pas, je le sens bien avec lui, en faite. Pourquoi s'abstenir, de toutes manières, j'ai vu une étoile filante pour la toute première fois de ma vie samedi soir. J'en ai profité !


 

Sébastien, j'peux te dévorer ?XOXO

Lundi 14 juin 2010 à 18:58

Je fond, je fond, je fond.. Que m'as-tu fait ?

Lundi 7 juin 2010 à 17:04

Tu parles trop pour ne rien dire, ma belle. Ma jolie blonde, mon idylle, ma gamine qui va devenir Maman, toi qui a su me donner le bonheur le plus intense, le plus énorme de tous les temps. Me donner l'audace d'être " Tata ", oh oui, j'en rêve encore. Tout va mieux entre nous, nous sommes comme deux copines allant au cinéma, allant boire un petit verre au bar, et ne rien se cacher, tout se dire, sans exceptions. Et c'est bien ca l'inconvénient, tout se dire, rien se cacher. Tu me détruis, je ne sais pas ce que tu cherches, peut être à me rendre malheureuse, peut être cherches-tu à bien faire, peut être crois-tu que c'est bien faire, où même, peut être es-tu jalouse de moi, de mon bonheur, moi qui m'installe dans la même famille que toi. Encombrant, sans doutes. Mais que veux-tu à la fin, ma putain de blonde ? Tu as tout fait pour que lui et moi, ca fonctionne à merveilles, grâce à toi, j'ai retrouvé ce que je désirais, le bonheur. Mais quoi, il suffit que je verse une larme de colère pour lui pour que ca y est, tu penses que cet homme est un pauvre naze, qu'il ne sert à rien et que je ne dois pas attendre pour le lâcher, pour trouver quelqu'un de mieux, tu me baratines, tu me persuades ! Tu m'influences inconsciemment, tu veux que je marche dans ton petit jeu à l'odrose, mais saches que je ne marcherai pas dans ta direction, je ne peux foncer droit dans le mur, tout perdre et regretter seulement parce que je t'avais écouté. Je prends un virage et je continue ma route, je ne m'arrête pas, juste pour ton petit plaisir. Accoupleuse professionnelle, et briseuse de couple par excellence. Sais-tu qui es-tu réellement ? Et toi, réalises-tu tout ce que ca me fait quand tu me dis toutes ces conneries ? Et hier encore, je t'écoutais, j'épongeais chaques mots, chaques phrases, et au moment de l'appeller pour lui annoncer la fin... : " Je ne veux même plus entendre parler de toi, ne viens plus me parler ! " " Bon, bah, c'est finit alors ?" [...] " Nan, nan ! " " Bah alors, tu me lances la balle, mais quand je te la relances tu fuis, tu veux quoi à la fin ? ". Conversation qui m'a fait réagir, qui m'a définitivement fait comprendre que j'étais en train de perdre quelque chose d'énorme, un ange. Et depuis qu"il m'a dit qu'il tenait à moi, que pour rien au monde il ne voudrait me perdre, qu'il m'aime, je me suis rendue compte que ma propre soeur cherche à briser mon bonheur pour X raisons. Elle parle trop, sans doutes, elle parle de ce qu'elle ne sait pas, je l'aime, mon Dieu que je l'aime, elle est enceinte, elle fait mon bonheur, elle est si rayonnante derrière ses robes multicolores bouffantes, ses cheveux blonds ornés d'un serre tête blanc à paillettes, ses chaussures Vintage, ses yeux de biches, mais elle est si diabolique derrière tout cela. Ma jolie blonde que j'ai aimé aujourd'hui, que je hais aujourd'hui, que j'admirerais demain, et que je re-détesterai après-demain.http://ca-me-fascine.cowblog.fr/images/Photo123.jpg

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